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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 18:00

 

Bien sûr " la mort du petit cheval " était annoncée depuis Mai : CA Train mieux en tout (?) allait forcément chasser mes plaques à PICs ....

 

Comme lors de la première grande migration électronique ( avec tout de même le doute d'installer un nouveau système moins satisfaisant !?? ) , c'est sans trop de remords , mais avec un énorme pincement au coeur , que je débutais le remplacement et délogeais mes ensembles à PICs de leurs emplacements respectifs  .

 

Que de temps passé , que de tortures méningitiques cela m'avais coûté , de concevoir , d'assembler les plaques , faire les câblages , de créer quasiment chaque programme pour chaque PIC de chaque canton ... et je préfère ne pas aborder le travers des calculs pour les automatismes vu point par point puis rassemblés ensuite ... 

 

Tout cela pour rien !.. 

 

Non , pas pour rien !!.. Les bénéfices des divers apprentissages et le savoir de la programmation me resteront et me seront toujours utiles .

Ce sera le cas pour le contrôle manuel des rames sur les zones prévues . Ça me sera aussi utile pour la future commande de mon (mes) pont(s) tournant(s) . Encore une chose prévue mais lointaine ...

 

Pourtant , à cet usage , j'ai déjà profité de mes récentes commandes de matériel pour acheter par avance deux boutons rotatifs spéciaux qui comptent en " hexadécimal " : Incorrigible Antoine !!

 

Passons à la manoeuvre : De suite , j'attaque par le plus simple , le logement sous la gare cachée N°2 ...

 

Photo : Comparaison entre les deux systèmes aprés démontage ; Mes plaques de détections et de PICs prennent deux fois plus de place que celle unique de CA Train . De plus , je ne pouvais commander que 20 cantons avant , contre 24 avec les modules PWM . Et je ne parle pas du matériel qu'il fallait encore ajouter pour les automatismes ...

Ayant judicieusement repris le même câblage vers les cantons il me suffit de substituer les prises Sub-D ( installées avec capots S.V.P. sur la plaque fraîche ! ) . Aprés , tout n'est qu'histoire d'attribution d'adressages sur le logiciel .

 

 

CA011 Comparaison plaques PIC - CATrain

 

 

Le tout pour le tout lancé , je m'attelle ensuite au démontage de l'armoire N°1 . Les quelques vis et fils de liaison tombent rapidement mais je prend la précaution de ne pas saccager quoi que ce soit pour , le cas échéant , faire marche arrière ...

 

Photo : Le coeur de l'armoire N° 1 est extrait ; Hormis quelques petits fils annexes , j'ai laissé en place pour le moment la réglette de support pour les Sub-D ainsi que la plaque réunissant les boutons de commande des départs . Pourtant je dois poursuivre le démontage afin de récupérer la plaque de C.T.P. servant de support horizontal . Encore quelques vis .... 

 

 

CA012 Plaques PICs démontées

 

 

Une fois sortie , sous la gare cachée , le branchement de la nouvelle plaque est assez facile . Les gros fils " 220 Volts " mis en place pour contourner le réseau servent toujours .

Le 12 Volts électronique , plus utile , s'est vu débranché : Le signal TX - RX de dialogue entre l'USB et les modules passera par là . J'avais le doute de pouvoir récupérer ce branchement à cause de la section du cuivre mais François m'a annoncé qu'il n'y aurait aucun problème . 

 

Pour la traction , les deux jeux de fils d'alimentations déjà en place et provenant des régulateurs de tension de l'armoire N°1 , gardent pleinement leur utilité . 

J'ai juste eu un petit soucis avec mon 5 volts prévu en commun pour les 6 modules sur la première plaque PWM assemblée : Les potentiels de masse différents ( car deux alim. indépendantes ) me coupaient le signal sur une partie des modules .

J'ai rectifié le tir en installant finalement un second 7805 afin que chaque alimentation transforme son courant traction en 5 V pour chacun de ses modules ( soit 2 modules sur un régulateur avec un premier 7805 , les 4 autres sur l'autre régulateur avec maintenant leur 7805 attitré ) .

 

Photo : Plateau sous la GCN°2 ; Plaque en place et sous tension . Les deux leds vertes sont les lampes témoin des alimentations provenant des régulateurs N° 5 et 6 depuis l'armoire N°1 . Les fils marron/blanc aménent la tension vers chaque entrée . On peut maintenant distinguer les deux masses noires qui sont les deux radiateurs pour chacun des 7805 ( à comparer avec le premier cliché de l'article ) .

Les deux fils rose/bleu sont les fils d'émission et de réception du dialogue vers le module USB qui utilise le branchement normalement prévu pour amener le 12 Volts . Comme l'avait prédit François aucun soucis : Le dialogue des informations ne souffre d'aucune perte . Deux petits fils pour tant d'infos. , c'est bluffant !...

En haut , il reste un domino disponible : il servira pour ramener le courant destiné aux  accessoires ( aiguillages , feux , lumiéres ) .

 

  CA013 Remplacement plaque commande sous GCN°2

 

 

Le jour suivant je me suis occupé dans l'armoire N°1 .

Il m'a fallu refaire une prise femelle pour lier les arrivées d'alim. d'autres régulateurs aux deux groupement de quatre modules de la grande plaque de 8 .

J'ai aussi placé un petit support permettant de loger à mi-chemin le module USB . Deux intérêts : L'éloigner des autres modules ainsi que du rayonnement des transfo. , le placer suffisamment prés de l'ordi. pour un passage à demeure du câble USB de liaison au PC ( sinon trop court pour ne pas géner ) .

 

Photo : Un petit support placé rapidement dans le pupitre sert à positionner le module USB . Celui-ci est d'office mis en configuration " 50 modules " avec une alimentation indépendante sous 9 Volts par un petit transfo. dédié . Les deux " bus " sont en fonction : le premier descend directement vers l'armoire , le second ( branché sur les dominos ) , envoi les signaux de dialogue par les fils en 1,5 mm² en faisant le tour du réseau . Le câble USB arrive depuis le PC sur la droite ...

Dans l'armoire , la plaque de 32 cantons occupe une place dérisoire comparativement à avant . Le cliché est pris de loin mais on distingue la prise rouge où arrive le courant des régulateurs N°1 à 4 . Pour l'instant deux sont utilisés .

 

 

CA014 Remplacement dans l'armoire N°1

 

Pour les six modules qu'il me manque je diviserai probablement encore la plaque que je dois assembler . Je pense placer 4 modules en sus dans l'armoire N°1 , puis délocaliser les deux autres modules restant au plus prés de la gare terminus , toujours histoire de ne pas devoir câbler les cantons trop loin : il vaut mieux envoyé 2 fils de liaison USB + 2 fils de puissance + 2 fils de courant accessoire plutôt que trois à cinq fois plus , la gare terminus étant elle aussi de l'autre côté de l'armoire mais en partant côté inverse ...

 

En résumé :  - USB  dans le pupitre gare principale

                      - 12 modules PWM dans l'armoire N°1

                      -  6 modules PWM sous la gare cachée N°2

                      -  2 modules PWM sous la gare terminus

 

Ce n'est pas pour tout de suite  !

 

Essayons un peu ce qui est pour le moment branché  !!.........

 

 

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 10:00

 

Le mois d'Août vient d'être entamé , cela signifie pour moi que le chemin de l'usine commence à pointer le bout du nez . Bon , encore une dizaine avant la reprise , mais , même si j'ai bien progressé ces derniers jours , il reste toujours tant à faire !!

 

Le temps m'est compté : il me faut aller plus vite !... encore plus vite !...

 

Bâton dans les roues , avec les trop nombreuses heures passées à me vautrer depuis deux - trois mois le cul perpétuellement assis , soit devant l'ordinateur , soit devant mes montages électroniques , mes douleurs latentes de lombalgies et autres ( !... ) sont revenues à l'attaque , tant et si bien que je me suis remis à quelques exercices afin de me bouger un peu ... ceci prenant aussi du temps . Il faut bien s'entretenir un peu pour rester beau !?

 

J'en reviens au réseau ...

 

Le test de validation de CA Train étant effectif , j'ai de suite prolongé mon travail pour avoir des modules PWM supplémentaires .

 

Dans la pratique , les cantons recomptés qui seront sous le joug du logiciel , se sont vus grossis des zones d'aiguillages , de certaines des voies de triage et d'embranchements particuliers .

 

Initialement , pour les zones d'aiguillages , l'alimentation devait se faire en récupérant le courant des cantons de pleines voies , via des relais et des automatismes , ceci pour suivre le sens du trafic selon le passage des trains .

A aujourd'hui , une zone d'aiguillages ne sera , ni plus , ni moins , que considérée comme un canton à part entière . Les inversions de tension nécessaire seront calculées et établies directement par le logiciel : énorme simplification !!

 

Partant de là , il me suffira , pour chaque " canton " que je voudrai contrôler en mode manuel , de prévoir un simple interupteur 2 RT pour pouvoir basculer sur l'alimentation que commandera le montage par PIC et télécommande . C'est pour plus tard ... 

 

Tout recompté , y compris les zones aiguillages , en prenant par précaution un peu de marge de réserve , j'ai , en finalité , opté pour le nombre de 80 cantons au lieu des 60 prévus .

Cela me monte donc le total à 20 modules PWM ( un maxi. de 28 modules , soit 112 cantons est possible --> je viens de vérifier (et de rectifier) car j'avais par erreur noté 32 modules et 128 cantons la fois passée ... ) .

 

Obligatoirement j'ai aussi projeté l'implantation au réseau pour répartir équitablement les plaques et éviter des câblages aux cantons trop denses , trop longs .

En fait , je me re-base essentiellement ( à quelques aménagements prés ... ) sur le travail " filaire " déjà mis en place avec les plaques à PICs . 

 

Photo : L'assemblage des modules PWM a été réalisé et entiérement câblés . Les tests de fonctionnements sous ModParam , avec vérifications au voltmètre , sont accomplis ; Ces 14 modules sont disponibles pour des essais au réseau plus amples ...

 

CA013 PWM CATrain

 

 

Suivant les prévisions , j'ai pris les devants puis j'ai déjà adressé et mémorisé les modules pour leurs futures affectations .

 

La grande plaque de 8 modules sera logée dans l'armoire N°1 . Les premiers modules réalisés , numérotés de 15 à 20 sur la photo , remplaceront eux la plaques à PICs qui setrouve sous la gare cachée N°2 .

 

Dans l'immédiat , ces 14 X 4 ---> 56 commandes de cantons utilisables , suffiront pour gérer les rails mis en place . Avec le matériel de ma première commande , je ne pouvais de toute facon faire que 15 modules ...

 

Une seconde commande de PICs 16F877A et de L298 a de suite été passée pour construire les six modules manquants afin de permettre d'arriver à mon total de 20 .

 

Décalage dans le temps aidant , j'ai reçu hier ce qui me manquait pour assembler ces derniers ... Ce sera pour plus tard ....  

 

 

 

 

 

 

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 10:00

.....

 

La source traction qui servira à cet essai sera donc pour le moment un vieux transfo. Jouef .

 

Pour le tracé du réseau virtuel , le logiciel permet très facilement de recréer ce que l'on désire au travers d'une banque de symboles bien pensés . 

Des limitations de vitesse sur les cantons sont possibles histoire de baisser la vitesse en gare , dans les descentes , sur les faisceaux d'aiguillages !... ou au contraire de booster la puissance pour les montées .

D'ailleurs , les rampes ( avec leur pourcentage d'inclinaison ) peuvent être matérialisées sur le réseau virtuel et cela influera sur la marche des trains : Le logiciel voit qu'une rame arrive sur une rampe à " tant de % " et il augmente la PWM pour maintenir une vitesse constante ( idem pour les descente ou il ralentira ... ) .

 

J'ai retracé les cantons concernés par voie unique en limitant les extrémités par des signaux , qui , même s'ils sont non matériellement présents , se retrouvent obligatoires pour réaliser des arrêts .

Ensuite , on trace un itinéraire avec ce que l'on veux soumettre comme manoeuvres et vitesses à la machine qui se retrouvera en place sur la voie .

Le logiciel reste très intuitif et on prend facilement le coup de main pour ces travaux . Le tout , avec certaines options ( attendre un train X à un endroit Y ) , est de ne pas s'y perdre car tout ce qui se trouve sur le réseau comporte une adresse chiffrée ( cantons , appareils de voie , feux , trains ... ) et on peut facilement faire une erreur à ce niveau , quant parfois ce n'est pas un conflit d'itinéraires se recoupant qui est involontairement posé ...

 

Avec un petit tracé comme celui de cet essai aucun soucis , lorsque l'on a une soixantaine de cantons avec une trentaine de trains c'est une autre affaire ... 

 

Pour le matériel de l'essai , j'ai jeté mon dévolu sur mon ABJ 3 Electroten car assez souple et régulier en fonctionnement ; De plus un autorail est moins problématique en terme d'intervention manuelle rapide ...

Par la suite , une petite procédure permet de rallonger le matériel roulant afin de former une rame de plusieurs wagons/voitures si besoin ( jusqu'à 30 de mémoire ... )

 

Photo : Prise de l'écran , avec le balayage du CRT bien visible ( les bandes horizontales .. ) et assez peu de netteté . Le tracé est simple . En plus des voies et des feux , on trouve le curseur de commande de l' ABJ ainsi que la commande de mise en fonction du réseau .

 CA008 Cantons E F V24 V25 voie unique

 

 

Une fois le virtuel créé , les modules et cantons adressés , on peut passer à la grandeur nature et concrétiser .

 

La petite vidéo suivante illustre en deux temps la chose ; D'abord on y voit le cheminement virtuel qui se déroule à l'écran ( je m'excuse pour le défilement des bandes .... ) , ensuite , sur les cantons , je filme l'ABJ directement commandé par CA Train au travers des premiers modules PWM . Au début , en observant bien , on voit aussi le bouton de commande qui se meut seul en suivant la commande de vitesse déterminée ...

 

 

 

 

Les premières rotations m'ont , somme toute ,  assez déçues : manque de synchronisme conduisant dans les choux , vitesses "trop" ou "trop peu" ( je n'avais pas de suite pleinement saisi le principe pour le calibrage des courbes de puissance , j'avais aussi inversé le dessin d'une rampe en créant une montée alors que ça descendait --> accélération au lieu d'un ralentissement !! ) , bref pas terrible .

 

Après quelques débuts d'améliorations cela donnait ce que j'ai filmé .

 

Par la suite j'ai encore grandement amélioré le déplacement car , en tout état de cause , de très nombreux paramètres sont à voir et à peaufiner finement . Par définition , les essais sont là pour çà ... 

 

La chose très importante que je tiens à souligner ici est l'intérêt absolu du système pour la phase d'automatismes : aucun relais d'inversion nécessaire , aucun bouton poussoirs pour les départs , encore beaucoup de posibilités non mises en fonction pour le moment ( correspondances entre les trains , pauses plus longues , attente d'un événement extérieur ... ) , la facilité de gestion est immense avec le PC qui gère tout .

 

Cà c'est pour le côté merveilleux et positif !!

   

Pour le reste , je me suis vite rendu à l'évidence , avec des rotations plus vastes qui restent en cours en ce moment ( décalage entre les écritures , les parutions au blog et le jour-le-jour ) , qu'il faut bien prendre son temps pour calibrer ce que l'on désire .

 

Trois choses primordiales avec CA Train :

 

1) La longueur des cantons

 

Le tracé de voie à l'écran ne reflète pas toujours la vraie distance , soit par manque de place à l'écran , soit par simplification du tracé virtuel .

Des ajustement de longueurs sont possibles ; Un tracé virtuel de 20 "rails" dessiné pourra , si besoin , être étendu artificiellement à une valeur de 32 rails pour mieux coller au réseau ou tout autant être raccourci à la longueur à 13 rails pour forcer l'arrêt au bon endroit si le canton est une voie en gare ( onglet de " longueur ajustée " ) . On triche ici sur la valeur pour que le déplacement du train miniature se synchronise mieux ... 

 

2) La vitesse d'une motrice

 

Tout comme avec des locos équipées de décodeurs en digital , une courbe de vitesse peut ( et doit absolument ! ) être ajustée pour chaque loco , ceci afin de gommer les différences de fabrication et de qualité de roulement que l'on retrouve d'une motrice à une autre sous la même tension donnée aux roues . 

On détermine d'abord qu'elle sera la vitesse maxi. admise par la loco sur le réseau ( vitesse virtuelle : un express à 120 KM/H , un marchandise à 90 , un autorail à 70 ... ) . Cette valeur donne le point vitesse maxi. sur la grille de calibrage . 

Ensuite , on réglera la courbe de progression pour l'accélération , puis , séparément , pour le ralentissement , grâce à quatre points de valeur que l'on peut déplacer comme l'on désire sur la grille . Une fois mémorisé , chaque loco suivra sa courbe d'accélération/de décélération où qu'elle soit sur le réseau .

Le gros avantage ici est de ne pas avoir de modification , d'installation , ni d'achat de décodeur à faire pour chaque loco. Une option ( allumage de feux .. ) est même activable si besoin !?? ...

 

Le jour de mes premiers aller/retour décevants ( désastreux ) , je retourne lire le tutoriel de CA Train puis je reviens au mode de réglage et commence à mieux maîtriser les paramètres de calibrage de vitesse .

Cet exercice reste délicat lorsqu'on désire des départs et arrêts assez progressifs . Le point de puissance pour la vitesse maxi est aussi très important ... 

Une fois bien ajustée , la courbe décidée collera à la loco . Avec l'expérience ( qui à ce jour se développe ) j'ai plus de facilité avec cet exercice .

 Il faut pourtant se méfier car les locos réagissent différemment à chaud ; Les courbes évoluent un peu et sont à revoir( souvent à la baisse ) avec la loco " à température " sinon on va trop vite ( voir plus bas ... ) .

 

 

Photo: En exemple , le jour des premiers essais , je tâtonne prudemment le calibrage vitesse de l'ABJ . Maintenant çà va plus vite pour des résultats plus rapidement corrects . On voit sur l'image les points de réglage que l'on place comme bon semble sur le graphique . Les traits en courbe s'ajusteront automatiquement pour  visualiser les intermédiaires et faire les courbes . Ici on distingue en bout d'horizontale la vitesse maxi. donnée à l'ABJ : 100 KM/H . Verticalement se sont des graduations de puissance allant de 0 à 31 ( 31 étant le 100% du PWM ) . Pour garder une vitesse réaliste à l'ABJ j'ai dû monter assez haut le point de puissance ; Qualité de motorisation et consommation électrique accrue allant de concert !! Les courbes pour les Jouef que j'ai testé depuis sont globalement plus plates ...

 

 

CA009 Réglage courbe de puissance de l'ABJ

 

 

Enfin , le point le plus important de tous ; Ce que l'on voit à l'écran ( le réseau virtuel ) doit être différent de ce qui est sur le réseau miniature pour préserver la synchronisation . Je me suis aussi fait avoir sur ce point ... 

 

3) Le synchronisme mode virtuel/ réseau miniature .

 

Il ne faut pas chercher à absolument calquer le virtuel au modèle réduit . Le virtuel doit toujours être un peu en avance sur les trains qui tournent : Un train virtuel qui quitte un canton doit bloquer en entrant sur le canton suivant ( il se fige en attente à l'écran ) . Lorsque le "vrai" train miniature entrera réellement sur le nouveau canton , l'ordi. rattrapera le décalage et le train virtuel reprendra son cheminement à l'écran .

 

Si c'est l'inverse qui se produit ( CàD le train miniature réel qui change de canton avant celui virtuel à l'écran ) une perte de sychronisation est obligatoire ... D'où l'importance de bien calibrer chaque vitesse relative ...

 

Bien sûr , à contrario , un train peut avoir un ralentissement involontaire pour diverses raisons ; Une valeur de temps ( une marge ) de désynchronisation est réglable .

D'origine réglée à 10 secondes , je l'ai pour l'instant augmentée à 20 secondes ( maxi. 60 secondes ) et çà a l'air de tenir la route .

 

J'en reviens à mes longueurs de cantons pour illustrer :

Supposons que pour vraiment refléter le réseau , un canton virtuel tracé à 20 rails , doive être ajusté à une valeur de 40 ; On ne le compensera uniquement qu'à 32 longueurs ( ajustement sans trop faire de décalage ) , cela ne sera pas suffisamment long , le train virtuel gardera une avance à l'écran . 

Si , au bout de 20 secondes , le train miniature ne change pas de canton , l'ordinateur détectera la perte de la rame et il arrêtera le réseau ....

 

Bref , il faut jongler avec les réglages et harmoniser les vitesses , les longueurs , en restant avec des valeurs établies dans la marge de temps donnée à la synchronisation ... tout un art !!

Mais un art plus facile que la programmation  

 

 

 A suivre ..... 

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29 juillet 2011 5 29 /07 /juillet /2011 23:00

 

Entre les journées consacrées à la détente et aux obligations le travail sur le réseau a doucement continué .

 

Le cas de ordinateur d'essai résolu , j'ai cherché un endroit propice pour une installation rapide et pratique .

 

La zone qui recevra le dépôt est assez dégagée . De plus , elle supporte mon poids , donc la " tour plate " et l'écran CTR devraient aussi passer ... Je décide d'installer l'ordi. à cette place .

 

Photo: Logé dans la raquette sur le plateau supérieur , l'ordi. occupe la future place du dépôt quasiment où se placera la rotonde . Dans l'immédiat la raquette de la boucle n'est plus active : pas de blem. pour l'utilisation des clavier et souris , mes mains se trouvant sur les rails lorsque j'ai besoin de pianoter .

 

 

Vieux coucou en fonction

 

 

Partant du haut , seuls trois câbles : les 220 Volts pour l'écran et la tour , le câble USB . Il passe vers le bas pour rejoindre le module USB placé sur les cartons du carrelage de la terrasse toujours sagement rangés . De toute façon , avec le temps que l'on a en ce moment il n'aurait pas été possible de le poser ( --> la bonne excuse !... ) .

 

Afin de cibler une zone un peu technique , je jette mon dévolu sur les cantons de la voie unique où mes derniers automatismes viennent d'être installés . Cela m'est plus facile aussi pour récupérer la prise Sub-D qui alimente le tout . La plaque avec les PWM se retrouve posée sur la structure de l'armoire N°1 .

 

Photo: Le matériel est en place ; Le module USB sur le carton à gauche , à ses côtés un transfo. Jouef qui alimente la plaque pour 8 des 24 cantons présents ( découpage pour divers régulateurs d'alimentation ) .

Sur la plaque elle-même de légers ajustements ont été accomplis : le branchement d'un premier câble menant à une Sub-D reprenant le branchement vers les cantons E , F , V24 , V25 de la voie unique . Le montage de cornières en aluminium boulonnées sur les L298 de puissance .

 

 

Branchement de l'essai

 

 

Les cornières en aluminium sont coupées , percées puis ajoutées après coup ( photo antérieure aux explications ) : Avec le branchement " moteur libre " dans la chambre aucun échauffement n'était perceptible .

Avec les premiers essais répétés de rotation de motrices , une très légère tiédeur , très localisée au dos des L298 , se fait deviner après 30 minutes d' incessantes variations de vitesse ; Pour quelques Euros , je prends les devants et je mets en pratique les préconisations du site , qui recommande ce montage pour des consommations prévisibles allant au-delà de 300 mA par loco .

 

J'installe donc des radiateurs plus par précautions suplémentaires que par besoin . En effet , des seuils de sécurité sont compris et réglables dans les paramètres du logiciel , et ce , module par module .

Cela concerne la limite pour l'Ampérage mais aussi le calibrage du temps de re-testage du circuit en cas de surcharge , de court-circuit par déraillement ou autres causes : Le logiciel coupe tout en cas de soucis , puis ré-envoi des impulsions pour vérifier que le probléme ait bien disparu ( c'est le temps d'envoi de ces impulsions qui est réglable ) . 

D'autres protections sont également présentes ( surcharges électriques , thermiques ) mais cette fois-ci directement intégrées lors de la conception des L298 ; De plus , à l'origine , chacun des quatre canaux d'un L298 peut supporter 3 Ampères en pic de consommation ( 2 Ampères en continu ) . Assez large avec des trains qui en moyenne tournent à 500 mA de consommation électrique .

 

.........

 

 

 

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 23:00

 

Les passions ne s'expliquent souvent pas ...  A remonter mon histoire pour les Ptit-Trains pas de source précise ...

 

Après , simple lubie ou histoire sérieuse , rien ne laisse présager l'avenir !!...

 

Pour ma fille aînée , vers ses 12 ans , est venu un soudain intérêt pour le Japon ; On ne sait pas ou plus vraiment comment , par le biais d'une tendance et de groupes musicaux de mémoire ...

 

" Fille de son père " , elle n'a cependant jamais déroger de son but depuis , se " spécialisant " de plus en plus au travers de lectures , dessins animés ( mangas ) , art vestimentaire , groupes , inconnus ici , mais à faire pâlir les plus trash du vieux continent , et , forte de sa ligne de conduite , elle a naturellement orienter ses études vers les langues/arts plastiques , pour arriver en licence de Japonais en université il y a deux ans .

 

Assez réservée , toujours sérieuse et studieuse , gérant et jonglant entre loisirs et travail , l'envie irrésolue de migrer vers ce pays la pousse à réussir , allant jusqu'à lui faire faire " black-out " sur le côté sentimental , malgré ses 20 ans passés .

 

Au moment des fêtes , juste avant le jour de l'an , sa soeur cadette ( qui vît de son côté une histoire amoureuse depuis plus de deux ans ) nous annonçait la fameuse liaison que sa soeur avait depuis peu avec un jeune homme : un Japonais !

 

Quelle ne fût pas notre surprise d'apprendre qu'elle avait ( enfin ) ne serait-ce qu'un petit copain !!?

 

Le jeune homme en question était arrivé en France fin Août 2010 par les relations inter-universités qui envoient leur meilleurs élèves à l'étranger , et il devait passer son année scolaire en immersion linguistique dans l'université de langues où " notre Grande " va aussi en cours .

 

Ce qui devait arriver arriva ... Destinée ... puis on ne peut éternellement se voiler la face !...

 

Nous étions contents et amusés par la situation , la charriant à plus d'une reprise , pensant à une première expérience passagère ... Mais , avec le temps qui coule vite , nous avons rapidement pris conscience qu'il ne s'agissait pas d'une simple amourette .

 

Shunsuké ( c'est son prénom ) vînt à la maison par deux fois lors des vacances scolaires : une fois en Février , la seconde fois en Avril .

Lors de ces deux séjours d'une semaine je n'avais malheureusement fait que le croiser car j'étais tombé en plein dans mes quarts de travail avec , en plus , des arrangements pour dépanner des copains de boulot ( j'avais inversé des journées de rotations .... )

 

Le Tsunami avait entre ces dates causé les dégâts que l'on sait . Sans trop d'inquiétudes directes pour lui car il vit dans la partie plus au Sud et sur la côte opposée au séisme .

 

Avec les histoires de la centrale et de ses retombées radioactives , nous lui avons rapidement proposé de rester ici pour les deux mois d'été ; Son visa expirait fin Juillet et des obligations ne lui permettaient pas de trop prolonger son séjour .

 

N'osant pas au début , il a finalement accepté lorsque Madame a insisté et lui à bien clairement dit qu'il n'y avait aucune gène ; Il est donc arrivé une nouvelle fois sous notre toit fin Juin pour un petit mois .

J'ai enfin pu faire plus amplement sa connaissance ; Nous avons organisé quelques activités , présenté les alentours de notre ville et de nos campagnes environnantes ( bien que peu gâté par la météo ) , fait rencontrer la famille , fait de nombreux repas et soirées ... avec moult sourires , rires , fous rires à la clef . 

 

Immanquablement , je lui ai bien sûr présenté la Ptit-Trains-Room , cité un peu l'histoire des vrais trains dans la région ,  montré quelques sites actuels tout en faisant le recoupement avec des documents d'époque une fois de retour à la maison ... ... On ne se refait pas !

 

Je ne suis pas plus que cela psychologue , mais lors de son séjour parmi nous j'ai pu cerner un garçon très agréable , réservé , serviable , posé , pas trop coincé bien qu'hésitant ( les barrières de culture et d'éducation différentes entrant alors en ligne de compte ) , mais surtout respectueux de tout et de tous ... 

 

Un beau-fils semble-t'il idéal , comme peu en rêver un père pour sa fille !! 

 

Une fois en congés après la première semaine de Juillet passée , nous n'avons pas vu les jours s'égrener par la suite ... 

 

Puis inexorablement le temps passe et arrive soudain le moment du départ , certaines échéances sont incontournables .

 

Nous avons pris le chemin de Roissy à trois , sans Madame qui a préféré tenter d'éviter le moment d'une séparation douloureuse . Peine perdue , sur le pas de notre porte , c'est déjà pleine de larmes et le coeur gros qu'elle a dit au revoir à notre hôte Japonisant !!...

 

Sur la route , j'ai bien essayé de parler un peu , de détendre l'atmosphère , de meubler le temps du voyage vers l'aéroport Charles De Gaulle , mais le coeur n'y était pas trop , le silence était pesant , l'heure grave .

 

Une fois à l'aéroport , hormis le monde et la queue pour les embarquements ( vacances obligent c'est dingue le nombre de personne pouvant prendre l'avion !.. ) , tout c'est bien passé jusqu'au moment fatidique où il a fallu se quitter .

 

Certains au-revoir prennent parfois des allures d'adieux , cela est d'autant plus vrai lorsque les histoires de coeur s'immiscient dans la situation ...

 

Je ne suis pas d'un naturel sensible , mais je peux vous assurer que dans l'aérogare , ce jour précis , je n'ai pas eu besoin d'une séance de cinéma pour faire vibrer la corde de mes émotions . Ma glotte était nouée et face à moi , c'était du vrai , du sincère !!!... 

 

Puis Shunsuké s'en est allé , retournant vers son lointain pays du soleil levant ...

 

Le plus dur est maintenant pour ma fille qui voit son premier amour la quitter .

Avec 10.000 KM entre deux la distance n'est pas mince , loin des yeux loin du coeur dit-on aussi ... Mais les moyens modernes de communications permettent de nos jours des prouesses qui gomment l'éloignement même si ce n'est que virtuellement .

 

Il est déjà prévu qu'elle fasse son premier voyage vers le Japon pour cet Hiver . Nous entammons actuellement les démarches administratives pour obtenir un passeport . Après nous verrons bien la suite des événements !!...

 

Mais je suis assez confiant , je crois en leur avenir .

 

Il y a des choses que l'on sait ; Il y a des choses que l'on sent !!....

 

Fin de la parenthèse .

 

  

 

    

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24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 10:00

 

Un jour , attendant que les jeunes se lèvent , je m'occupe un peu au réseau . 

 

J'ai repris mon schéma , recompté mes cantons , élargi mon rayon d'action : Il me faudra en gros un peu plus de modules que prévu ( donc recommander un peu de matériel ...) , car je vais profiter des facilités offertes par CA Train pour automatiser des faisceaux d'aiguilles qui auraient dûs passés par des relais automates , ainsi que quelques une des voies que j'aurais laisser sous commande manuelle sinon ...

 

Avant cela , il me faut conduire des essais plus poussés avec les premiers modules assemblés pour m'assurer du fonctionnement et me rassurer par la même du résultat  .... 

 

En dehors de l'interface matérielle des modules , la base de CA Train reste tout de même un ordinateur .

 

Jusqu'alors , j'ai travaillé , j'ai testé les montages , soit sur l'ordi. du salon , soit sur notre ancien ordi. maintenant situé dans notre chambre .

Comme écrit dans l'article précédent , toutes les adresses de modules restent mémorisées en interne dans les PICs, donc on passe d'un ordinateur à un autre très simplement , juste en débranchant le câble USB , aucun adressage n'est perdu .

Après c'est sur les circuits virtuels qu'il faut que çà suive ( ne pas inverser les numérotations de cantons par exemple !! ) .

 

Avec mes 6 PWM assemblés , cela me démangeait de tester en grandeur nature le matériel sur le réseau . Forcément , il me fallait ramener un ordi. au réseau pour mener rondement la chose ... J'étais sur le point de démonter et de transférer celui de notre chambre ...

 

Heu ... Humm , tout un déménagement !

 

L'écran LCD est installé au mur en " fixe ",  les fils bien en place sous le bureau ... 

Puis , de temps à autre,  j'aime rester au calme dans la chambre , bien assis dans le fauteuil " ministériel " , comme à l'instant ou j'écris cet article ( impossible dans la train room , le fauteuil étant trop large ... )

 

Je suis allé faire le tour des magasins du coin , je suis aussi allé faire le tour des VPCistes sur la toile , l'achat d'un PC portable est envisagé ...

 

Mais QUID : Un Netbook ? Un portable ? Un transportable ?... Ou le luxe à la dernière mode : une tablette tactile ?! ...

 

Puis où caser un PC sur le réseau où cela n'est pas prévu !... Je me ravise , repousse l'échéance , je temporise ( Hein Mon Grosminique !! --> il se reconnaîtra ... ) .

 

Afin de tenter l'expérience , de conduire des essais , je pense à quémander puis j'emprunte le PC portable de ma fille aînée ; Installation de CA Train , branchement de l'USB et des PWM , création rapide d'un petit circuit virtuel puis mise en branle du tout : Tout est reconnu mais malheureusement le logiciel d'exploitation bloque le fonctionnement !.

L'O.S. de chacune de mes filles est Windows 7 .... CA Train ne fonctionne qu'avec Windows 98 , 2000 , XP !... Pas compatible , échec de l'essai .

 

Dans la Train-Room , sous le réseau , sont stockées des choses , plein de choses ( un internaute m'en a d'ailleurs fait la remarque une fois !! ) ; Entre-autre , parmi ces choses j'ai gardé un ancien PC entier que les parents avaient donné à ma cadette .

 

A aujourd'hui c'est un ancêtre : datant de 1998 , il possède un CPU de 333 Mhz ( LOL ) , 256 de SDRam , un disque dur récent ( car changé pour le booster ) de 10 Giga . Le père lui avait aussi mis en place une carte graphique ( çà , c'est pas un mal ! ) mais l'écran d'origine reste un gigantesque et lourd CRT de 15' . Le tout tourne sous Windows 98 .

 

Je me dis que pour un essai , la brouette devrait convenir ...

 

Ensuite , si le processeur tient le rythme , je me contenterai de juste acheter un écran neuf de type ultra-slim à LED en visant plutôt une taille moyenne ( 22 pouces ... ) .

Je passe à nouveau en revue le terrain pour une implantation dans ce cas : le bloc PC rentrerait dans l'armoire N°1 ( il débordera sur l'arrière mais ce n'est pas grave ) , dans l'épaisseur du plateau haut je pourrais , à un endroit , faire un tiroir à glissières pour y mettre un clavier et une souris . L'écran serait mis au mur sur un bras articulé . C'est jouable ...

 

Dans le cas ou çà plante , je verrai alors sérieusement pour un portable de 15 pouces plus facilement logeable et moins gourmand ( pour l'autonomie ) qu'un transportable de 17 pouces ... Il devrait aussi être casable dans l'épaisseur du plateau en adaptant un logement .

 

Un netbook serait plus facile pour ranger mais l'écran est peu pratique ( trop petit ) . Une tablette reste limitée en capacité , puis chère et aussi petite en taille pour le moment .  

 

Mais assez d'extrapolations !... Concentrons-nous de suite sur le concret .

 

Branchement , mise en marche : le vieil abandonné démarre du premier coup me révélant un bordel monstre en logiciels contenus ( ... ma fille était passée par là il y a 4-5 ans (déjà) ! ) . Je commence à " nettoyer " , j'élimine une DLL au passage , redémarrage en " mode sans échec " ; Pfff, pas de bol ...

 

Ayant conservé les logiciels avec le PC , je formate puis ré-installe W98 . Heureusement que les fameux codes ( protections de l'époque !... ) sont aussi gardés avec les logiciels !

Une fois fait , je re-supprime délicatement les " non-utiles " ; Plus propre , le PC est OK .

Installation de CA Train ( après gravage sur support CDRw ) çà roule ... Je branche le module USB : pas de reconnaissance ...

 

Merdumm, çà vient des pilotes des deux USB ( pas de reconnaissance automatique à l'époque ! ) . Je galère un peu mais ne trouve pas le moyen de mettre à jour . Je reprend le tout à zéro .

 

Nouveau formatage ; Cette fois je vais chercher la sauvegarde de mon Windows XP puis je charge ... 1H15 pour l'installation ... je suis vert !

Heureusement , au terme de la manip. , je peux installer CA Train , et surtout , cette fois-ci , les modules sont reconnus !!!

 

Commencé en matinée vers 9h00 , quasiment resté en " non-stop " ( repas rapide ) , je termine cette mise en fonction à 16h30 : Direction l'extérieur et la détente , j'embarque les femmes et bagages , faut que je respire !....

 

On verra la suite plus tard .

 

 

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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 20:00

Enfin sorti du néant , " mon " CA Train semble sur la bonne voie ( ... de chemin de fer , cela s'entend ... ) .

 

Bien sûr , avec une plaque PWM pré-perçée dans son entier et comprenant déjà les ponts électriques de jonction en place , je ne pouvais en rester à deux modules .

 

Bien vite je me mis à assembler les quatre autres PWM , pour finir la plaque , vérifier le bon fonctionnement , aussi , par curiosité , afin de voir comment les représentations de 6 PWM comportant 24 régulateurs seraient détectés et affichés ...

 

Pour la détection , six modules neufs ( entendre " non adressés " ) ne peuvent être branchés en une fois sinon il y a conflit d'adresse avec six adresses 0 commises d'office .

On peut ajouter les grands PICs un à un ... mais si on fait une erreur leur démontage est assez ardu ; Les multiples pattes ( 40 ) corsent l'extraction , même avec la pince spéciale adaptée ; On en plie immanquablement quelques unes : 40 pattes bien enfoncées çà tient ! 

 

Normalement les 2 optocoupleurs rapides préconisés par module sont à mettre sur supports . Lors de mes commandes j'ai totalement zappé l'affaire !

Une fois les montages en cours , pour les premiers PWM , je les avais directement soudés sur la plaque .

Forcément , erreur de conflit d'adressage lors de la reconnaissance , démontage obligatoire d'un des deux grands PICs mis en place ... pliage de quelques pattes !!...

 

A la suite , j'ai mis , en guise de support , des " tulipes " sur un des deux opto. par module , de manière à pouvoir les isoler ( hormis le premier laissé tel quel ) . Un opto. est plus facile à sortir et il coûte aussi moins cher qu'un PIC si on casse ( --> une patte cassée et c'est poubelle ) .

La plaque entièrement assemblée , la détection s'est bien faite mais m'a donné raison sur mon choix de montage .

 

Cinq des six modules furent reconnus puis purent être adressés . Pour le sixième : " Niet " , rien à faire .

En jonglant avec les opto. j'ai plus aisément ciblé le défaillant . J'ai quand même dû démonter ( avec précautions .. ) pour les inverser , trois des PICs bien mis en place " définitive " et il en résultait , après analyse , que ce n'était pas une soudure ou un composant annexe défaillant sur le module incriminé mais bien le PIC par lui-même qui faisait des siennes !?

 

Avec mon nouveau matériel de programmation et le logiciel WinPic 800 , j'ai pu remonter une erreur dans les paramètres internes du PIC . J'ai ré-essayé plusieurs fois de le reprogrammer sans grand résultat ....

Ce PIC , " buggé " de l'intérieur , a pris le chemin du recyclage en déchetterie ... Paix à son âme .

Un autre PIC neuf est venu le remplacé faisant tout rentrer dans l'ordre . Les six modules étaient OK .

 

Photo: La plaque avec les 6 modules PWM est mise sous tension et opérationnelle : les LEDs sont fixes ; On distingue bien les petits opto. de droite mis sur tulipes , ils se trouvent plus haut perchés .

Profitant de l'entité de la plaque j'ai percé puis soudé quelques ponts en sus ( soit " en dur " , soit en câbles rouge )  pour distribuer le signal du BUS , ne gardant de cette manière qu'une entrée ( deux fils ) pour tout les modules .

J'ai fait de même avec le courant 5 Volts provenant du régulateur 7805 ( en haut à gauche , la masse noire entre les fils ) . Il distribue ainsi le 5 Volts sur les 6 PICs .

Le courant traction est lui réparti avec deux entrées : une pour les huit cantons du haut , une seconde pour les seize autres cantons de la plaque ( fil marron + blanc reliant sur la droite ) . Les 24 cantons qui seront réellement branchés ensuite seront à bien répartir afin d'éviter des surcharges en courant . Cela reste assez facile en incluant des voies de gare cachée ...

 

Module PWM 24 cantons

 

 

Pour l'affichage à l'écran de l'ordi. en mode " ModParam " , le logiciel commence par scanner le matériel : grand camembert orange affiché pour le module USB , puis un petit camembert vert signalant le(s) module(s) PWM trouvé(s) en reprenant l'adresse de chaque module . On peut monter jusqu'à 28 modules PWM , soit 112 cantons ... pour un énorme réseau !

 

D'après ce que j'en déduit , l'adresse attribuée au module reste en mémoire dans son gros PIC ; Même en débranchant tout , en changant éventuellement d'ordi. ( ... j'en reparlerai ...) cela n'est pas grave et les données restent gardées ...

 

Le scan. continu ensuite avec deux autres types de petit camembert à la recherche de module de détections , de module d'accessoires ( appelés " contrôleur d'article " ) .

Lorsque le scan. se termine , le " ModParam " adapte tout simplement la taille de la fenêtre d'information à l'écran et passe dans mon cas précis , en plein écran avec 24 régulateurs de vitesse .

 

Rien de dramatique , il reste de la place ; Je verrai bien avec 60 régulateurs à quoi çà ressemble !?...

 

L'assemblage d'une seconde plaque pleine de 8 PWM ( 32 cantons ) est déjà au programme , mais , dans l'immédiat , mes vacances ont débutées , mon beau-fils potentiel d'origine lointaine ( un Japonais , c'est une longue histoire !... ) étant à la maison quelques temps , d'autres activités familliales sont prioritaires ...

 

 

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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 22:00

....

 

Même travail " rapidement " conduit pour ce nouveau type de module , les composants sont moins nombreux ...

 

Pendant mon assemblage un de mes neveu est passé à la maison ; Après que je lui ai expliqué mes "en-cours" et petits couacs , il m'interpelle habilement en me faisant la remarque suivante : " Si ce troisième module ne fonctionne pas non plus , c'est sans doute , et plutôt , une erreur venant du module USB qui doit bloquer le tout ... "

 

Je fini mon montage contrôleur d'articles , je teste à vide , puis PIC monté : comme pour les deux PWM , la diode valide le bon fonctionnement du module lors de la mise en fonction : l'auto-test du PIC marche , logiquement tout est O.K. 

 

Je branche le module au BUS USB : une nouvelle fois rien ! Je ré-essaie par deux fois , y compris sur le second BUS : idem .

 

Je rage un peu , et peste aussi . Cela m'inquiète tout de même à ce moment . Réfléchissement " Jean-Pierre " !!

 

Je reviens sur la petite phrase du neveu ... Je pense au PIC spécifique du module USB , peut-être mal programmé ? Oui , mais il ne fonctionnerait pas avec l'ordi. dans ce cas et sa diode LED ne validerait rien ... Ca ne doit pas être çà ... 

 

Je regarde une nouvelle fois les schémas d'implantation , les typons , je retrace à nouveau les schémas techniques des modules .

Au bout d'une demi-heure , par hasard , je mets le doigt sur le bug : Gwen avait bien raison !

Cela provenait bien d'une erreur sur le module USB ; En montant les composants j'ai tout bêtement inversé de sens deux des petites diodes 1N4148 qui sont mises sur les entrées/sorties des BUS , les signaux étaient forcément bloqués , aucun dialogue établi .

Moi qui avais bien vernis le dessous , je me vois contraint de rejouer du fer à souder afin d'extraire les deux diodes en défaut pour y remettre deux autres neuves dans le bon sens cette fois .

 

20 mn plus tard , re-test : EUREKA !! L'USB , puis les trois autres modules sont tour à tour reconnu par le sous-logiciel d'adressage " Mod Param "  .

 

Bien vite je branche en plus de l'alim. et des fils de BUS un moteur sur une des sorties prévu aux cantons ...  

 

Photo : Les trois premiers modules . Leurs diodes Leds respectives sont allumées fixe : fonctionnements corrects mais au moins à cet instant le BUS joue pleinement son rôle . Le contrôleur d'article en haut ; Deux fils vert et blanc vont vers des leds sur la plaque à essai . Pour les PWM sur deux sorties cantons j'ai mis des tulipes ; Un moteur y est branché ...

Sur le bas , j'ai déjà entammé la suite avec le perçage et la mise en place des ponts électriques d'alimentation ... 

 

  Modules PWM + Accessoires

 

 

Les essais sont concluant ; Je relis , en même temps que je teste , les différentes informations données par les géniteurs du logiciel . Tout correspond et fonctionne suivant leurs explications données .

 

Photo : Cliché de l'écran de l'ordi. pendant les tests matériel . On y voit les deux fois quatre commandes de puissances des PWM  ainsi que le pupitre pour les accessoires ...

 

Modules vue de panneau de contrôle

 

 

S'il en fallait une , je donne confirmation que pour l'instant tout est juste : CA Train c'est pas du vent !

 

A suivre ....

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16 juillet 2011 6 16 /07 /juillet /2011 10:00

 

Dans le descriptif de CA Train on trouve 5 type de modules : l' " USB " , déjà réalisé et décrit , le " PWM " , le " détection " , le " complément de détection " , le " contrôleurs d'articles " .

 

Comme bien expliqué sur le site , le " détection " permet de synchroniser plus fidèlement le réseau miniature à celui , virtuel , de l'ordi. ; Cela se fait communément par des aimants sur les locos et des ILS sur les voies .

Le complément de détection permet de se passer des aimants/ILS et utilise pour indiquer une position précise la détection de consommation sur un petit tronçon de voie isolé .

 

Après renseignements , le PWM , en plus de donner le courant au canton , réagi aussi en rétrosignalisation par consommation de courant !

Un train entrant ou quittant un canton informe le PC . Normalement , il en découle donc une fonction inutile des deux autres ... à condition de bien paramétrer le réseau virtuel par rapport au réseau miniature ( bien calibrer la vitesse de chaque train circulant et les longueurs de voies afin toujours calquer les déplacements ) .

Indispensable , le contrôleurs d'articles sert lui pour la commande des aiguilles , des feux de voies , d'autres fonctions ( enclenchements de relais , automatisme annexes...).

 

Mon module USB fini , j'ai entamé l'assemblage d'un premier module PWM ( puissance pour 4 cantons ) .

 

Perçage , repérage des composants ( X 5 pour être certains de ne pas me tromper de valeur pour les résistances + revérification ultime du typon à la recherche d'erreur éventuelle ) , assemblage , gravage du gros PIC 16F877A , test " à vide " , montage du PIC puis test sous tension .

 

Comme pour le module USB , le premier PWM mis sous tension fait sa procédure d'initialisation , auto-diagnostique , validation par différentes vitesses de clignotements , signe que tout est conforme . Plutôt bon signe ... 

 

Heureux que tout se passe à merveille (!) ,  je branche ce premier PWM sur le BUS du module USB pour le faire scanner et reconnaître par le petit sous-logiciel de CA Train : verdict ... rien !!

 

Le scan. détecte l'USB mais aucun module PWM , ni d'autres ( bien sûr ! ) ... 

Je ré-essaies deux fois ... idem !... Grattage de crâne , revérification : rien d'anormal . Je me dis que c'est peut-être une soudure ? ou le PIC mal programmé ?...

Ne me démontant pas pour si peu , je décide d'assembler de suite un second module PWM .

Même travail global , après une après-midi pleine ( on travaille vite parfois !! ) le second module PWM est mis sous tension puis initialisé : la led fait le même chemin de clignotement qu'avec le premier ( signe que tout va bien .. )

 

Je branche à l'USB : ...toujours rien !!... PFFF ..... Les Anges commencent à passer ....

 

Je me dis que malgré mes éniémes vérifications j'ai dû mal maitriser le retraçage du typon lorsque j'ai refait le dessin " à ma sauce " , faire une erreur " quelque part " .

 

Je pars sur l'idée de monter un autre type de module , un module " contrôleur d'articles " .....

 

 

 

 

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14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 10:00

 

Après la lecture et l'étude de CA Train en 2008 , l'idée du principe de fonctionnement mis en avant était plus que crédible car calquant à ce que beaucoup de modélistes désireraient avoir ...

Certains de mes choix , avec ma propre gestion par PICs engagée par la suite , se sont naturellement découlés des propositions originelles de ce logiciel dont tout les modules sont aussi gérés par des PICs , vous l'aurez compris ...

 

Mais j'en reviens au mois de Mai ; Le fait d'en reparler avec Jean-Claude m'a remémoré le logiciel .

 

Sur le coup de la discussion , je suis donc reparti voir le site de CA Train et là , horreur et damnation : j'ai failli avoir une syncope !!

 

J'ai pu découvrir en visitant le site que les concepteurs du logiciel ont , depuis Janvier de cette année , mis à disposition tout le nécessaire ( schémas , plans , listings de matériels des modules d'interface + les fichiers hexadécimaux pour chaque programmation des différents types de PICs des modules ) afin de permettre à chacun de faire ses propres montages .

 

Avec toutes ces infos. disponibles , mon petit coeur s'est emballé et j'ai bien vite recommencé à chiffrer le coût d'une conception maison automatiquement moins chère à ce jour parce qu'en achetant tout le matériel " en brut "  le prix s'amenuise naturellement ( Avant , les concepteurs vendaient les PICs programmés entre 8 à 15 Euros pièce ( + le coût du travail de programmation ) , les circuits imprimés nus à 8 Euros pour 1 module , il fallait encore ajouter l'achat des composants manquants , etc ... ) 

 

Le nouveau prix que j'atteignais avec mon devis fait dans la foulée flirtait avec les 700 Euros , soit bien moins que les 3000 Eu de 2008 . Je pris la décision de me lancer dans l'aventure !!

 

Première étape majeure , j'ai pris le parti de mieux organiser et de retracer les différents typons des modules , le tout pour gagner un peu de place et mettre en commun ce qui est possible sur une même plaque de circuit imprimé .

Mes expériences d'avant en électronique m'ont en effet convaincues du bien fondé de la chose : si vous avez 10 modules distincts , il faut 10 fois les fils d'alimentations , d'information , etc ... ; Sur une plaque avec des modules groupés on réduit d'office les câblages en faisant des pistes communes lorsque cela est possible .

 

Mes typons retracés après plusieurs jours passés ( et nuits !! ) , ma commande de 5 plaques bien remplies est partie vers François .  

 

En même temps , je scrutais le Net pour trouver les composants nécessaires moins chers ... A la clef plusieurs commandes vers divers fournisseurs furent lancées .

 

Même si le travail entrepris était un peu vain , pour le réseau ( et pour mon propre ego  ) , je me devais de valider le travail entamé précédemment , ne serait-ce que pour savoir si mes automatismes étaient véritablement viables !...( voir le sujet récent ) .

Fin Juin , tout en poursuivant le travail prévu pour la voie unique , j'avais fini de recevoir l'ensemble des fournitures .Tout sous la main , le travail pouvait commencer .

 

Photo : Le matériel nécessaire pour me lancer dans la conception de l'interface CA Train est bien arrivé . Reste l'huile de coude et une fois de plus le temps à passer ...

Les gros PICs sont en fait ceux des modules PWM de puissance déjà montré auparavant avec le nouveau montage de programmation . Ces PICs , spéciaux par leur taille , ne pouvaient être programmés avec mon ancien matériel .

Pour le reste , des transistors de puissance spéciaux , des ponts de diodes , des optocoupleurs " rapides ",  des quartz , régulateurs , circuits et résistances ... Tout cela trouvé et acquis via Hong-Kong , la facture s'allégeant d'autant ...

Pour compléter la liste , des supports et quelques babioles techniques ( pour le modules USB plus spécialement ) sont commandés chez un fournisseur local ; Ils seront là sous peu .

Bien reçu également , les plaques cuivrées sont prêtes pour le perçage ... Il faut attaquer !

     

Matériel pour cartes

 

 

 

Pour " commencer par le commencement " , c'est naturellement le premier échelon de matériel que j'ai décider d'assembler : Le module de liaison USB .

 

Pour l'assemblage , suite au nombreux modules de commande du réseau que je devrai brancher , je me suis directement orienté vers la version " full " du module USB , version double pouvant digérer la gestion de 50 modules .

 

Il comporte un PIC technique dédié à l'application visée : L'interprétation des ordres reçus et donnés par USB entre le réseau et l'ordinateur .

Ce PIC , même venant de Hong-Kong , est assez cher . Craignant une erreur , un hors d'usage , voir un Bug de programmation , je l'ai pris en double pour le cas où !?.. 

Les " Traco " ( convertisseurs de tension ) du montage sont aussi onéreux mais il n'en faut que deux . Ils ont été commandés par chez nous . Idem pour les ponts de diodes , les petits optocoupleurs, les circuits AOP " adaptés " ... Pas réussi à me fournir ailleurs que par ici ...

 

Une fois les divers composants et broches en place , le test de mise sous tension à vide validé , j'ai pu programmer le super-PIC sans grande difficulté ( comme expliqué dans un article précédent , j'ai pris en main le fonctionnement de mon nouveau nécessaire de gravage de PICs depuis un moment , donc maintenant cela est devenu une formalité !! ) puis l'insérer avec les quatre AOP sur les supports .

 

Retenue de mon souffle , rebranchement effectif sur le port USB de l'ordinateur en mode 25 modules pour une première mise en marche .

 

Photo: C'est bon ! Ca ne sent pas le brûlé !!!

 

La diode a bien suivie la procédure décrite ( clignotement rapide une fois puis lumière fixe ) signe que l'auto-diagnostique s'est déroulé sans accroc . A priori , je n'ai pas fait d'erreur lorsque j'ai refait mon propre dessin de typon !!

 

 

Module USB

 

 

La lumière fût donc !! Mais rien de probant ...

 

Je fus surtout rassuré dans la minute qui suivie grâce à la validation du module par CA Train : un petit sous-logiciel est inclus afin de faire des tests et de paramétrer par un adressage chaque module mis en fonction pour la première fois .

 

Lorsque j'ai eu cette validation avec le " camembert " orange indiquant que le module USB était reconnu sur le port COM correspondant , là seulement , j'ai su que tout allait bien !! 

 

Pour le reste , j'ai ensuite basculé et testé le montage en version 50 modules avec une petite alimentation 9 Volts branchée en plus . Ceci est fait afin de pouvoir soutenir la demande accrue en courant ; La version 25 modules tire uniquement son courant sur la tension fournie par le câble USB lui-même ...

Toujours reconnu valide avec cette autre configuration , le module était déclaré " bon pour le service " !! Pour parfaire le travail , une couche de vernis de protection fût appliquée côté piste cuivrées / soudures .

 

Premier pas terminé !

 

 

 

 

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